« La mondialisation heureuse est terminée. Depuis la récession de 2007-2008, les barrières au commerce se multiplient sur la planète et les nouvelles ententes de libre-échange se font plus rares. Le Brexit et l’élection de Donald Trump ne font que renforcer cette tendance. » – François Normand, Les Affaires du 25 mars 2017
Dans le contexte économique mondial actuel, quand viendra le temps de faire votre prochain envoi par courriel, vous devriez réfléchir avant de cliquer sur le bouton « Send », voici pourquoi.
Les lois applicables sont de plus en plus régionalisées
Depuis le 25 mai dernier, le Règlement européen sur la protection des données (RPDG) est entré en vigueur en Europe. Il y a déjà quelques années, les États-Unis ont adopté leur Can-Spam Act. Quant à lui, le Canada révise présentement sa propre loi anti-pourriel C-28 afin d’y apporter de nouveaux amendements et précisions.
Conséquemment, il est primordial de bien connaître les règles qui sont applicables pour vous y conformer. Vous devez considérer non seulement d’où partent vos courriels, mais aussi sur le ou les territoires où ils sont envoyés. Nul n’échappe à ces obligations et les avantages d’utiliser une plateforme locale conforme aux règles locales deviennent de plus en plus une évidence.
Le directeur de l’équipe Succès Clients chez Cyberimpact, M. Patrick Tremblay constate que :
« …depuis quelques mois, on assiste à une forte augmentation du volume de questions posées relativement aux enjeux légaux… on voit aussi que de plus en plus d’usager, d’entreprises et d’instances gouvernementales canadiens qui préfèrent utiliser une plateforme d’envoi locale pour faire face aux prescriptions de la loi canadienne anti-pourriel. On assiste à une régionalisation des outils et plateformes utilisés pour l’envoi de newsletter. »
Et non, ce n’est pas qu’un acte de protectionnisme que de considérer l’utilisation d’un système d’envoi canadien pour envoyer des courriels chez nous. Au contraire, il s’agit plutôt d’une bonne idée! Par contre, comme le mentionne Stephanie Kennan, « l’émotion attire, mais le produit doit livrer ».
Au Canada, vous avez avantage à héberger vos données localement
Prenez quelques minutes pour réfléchir aux informations que vous recueillez dans l’exécution de vos efforts marketing. Quel type d’information personnelle recueillez-vous à propos de vos membres, clients, partenaires, citoyens, fournisseurs, etc.
- Où circulent et se retrouvent ces données?
- Celles-ci sont sauvegardées à quel endroit dans votre organisation?
- Où l’information se retrouve-t-elle sur le nuage?
- Est-ce que le RPDG s’applique?
- Êtes-vous à l’abri?
- Protégez-vous bien ces données?
Il faut bien le dire, il ne faut pas s’endormir et, mauvais jeu de mots, avoir la tête dans les nuages! Héberger ses données localement ne garantit pas l’intégrité de celles-ci, ni ne les protègent de quelconques malversations. Toutefois, il existe quand même un avantage indéniable quant à la réduction des risques légaux à héberger ses données localement, plutôt que dans d’autres juridictions.
Dans le cas d’une instance publique et les divers paliers de gouvernement, il s’agit assurément d’un critère non négociable, les données devraient toujours être hébergées ici, au Canada. Surtout lorsque l’on se souvient du récent Patriot Act américain qui permettait au gouvernement américain de consulter toutes données hébergées sur son territoire!
Communiquer dans les deux langues officielles au Canada, un must
Au Canada, il est important de pouvoir servir les Canadiens dans les deux langues officielles. Choisir une plateforme qui facilite le bilinguisme et vous permet de répondre au besoin des Canadiens et des Canadiennes. La plupart des Ministères et autres instances gouvernementales doivent communiquer dans les deux langues officielles du Canada. Or, ce n’est pas toutes les plateformes de communication par courriel qui permettent de gérer facilement les langues.
Avec des solutions américaines ou étrangères, il est fort probable que vous soyez en mesure d’envoyer des courriels dans la langue de votre choix, mais qu’en est-il des titres, des pieds de page, des formulaires d’abonnement, des formulaires de désabonnement, des séquences d’automatisation, etc. ?
Aussi, il ne faut pas négliger que les organismes publics et grandes entreprises ont souvent des ressources unilingues. Certains employés qui y travaillent sont anglophones alors que d’autres sont francophones. Pensez à Ryan, à Vancouver et à Jean, au Lac-Saint-Jean. Il est impératif que leur interface d’administrateur soit dans leur langue respective! Un collègue peut utiliser l’outil en français à Rimouski alors qu’un autre au sein du même organisme peut l’utiliser en anglais à Edmonton.
Une tarification qui n’est pas soumise aux caprices des fluctuations de la devise
Comparez, vous le verrez! Certes, certaines solutions font miroiter plus de gratuités pour les comptes à faible volume, tout en bloquant plusieurs fonctionnalités importantes de leur système. La majorité de ces solutions étrangères facturent leurs services en dollars américains. En comparant la tarification d’une plateforme canadienne comme Cyberimpact, vous constaterez que vous en obtenez plus pour moins cher dans la majorité des cas.
La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) recommande Cyberimpact
Depuis 2016, nous sommes un fier partenaire de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante qui recommande à plus de 110 000 membres l’usage de Cyberimpact pour mieux communiquer par courriel et faire face aux prérogatives de la loi canadienne.
Cyberimpact est développé et maintenu par une équipe de passionné, ici au Québec. Nous sommes en sommes très fiers. Nous embauchons des gens d’ici pour répondre aux besoins de gens d’ici!
Qu’attendez-vous pour nous appeler, il nous fera plaisir de vous aider! N’hésitez pas à nous contacter par courriel au support@cyberimpact.com, par téléphone au 1-855-964-0868 ou par clavardage ici sur notre site web.